Madame Caroline Ndoba Bokwala, Directeur Provincial de la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC) Nord-Ubangi, a été la cible des jeunes du quartier Mowanda, lors des incidents survenus après l'accident de circulation routière ayant ôté la vie à une fillette d'environ 5 ans.
Alors qu'elle était dans le plein exercice de son métier, celui de recueillir les informations concernant un accident de circulation routière ayant coûté la vie à une fillette du Président de la jeunesse du quartier Mowanda, situé à ± 5 kilomètres du centre ville de Gbado-Lite, la consœur Caroline Ndoba Bokwala, Directeur Provincial de la chaîne nationale a été une cible mal orientée des habitants du quartier précité.
À la base, un véhicule de la Société Nationale d'Électricité (SNEL) SA Gbado-Lite sous usage d'une ONG travaillant avec la Société STS a tamponné une fille d'environ 5 ans puis morte sur le champ, alors qui était à partance pour l'école. Le chauffeur comprennant le danger aurait fuit avec l'engin pour se sauver de la justice populaire. Malheureusement comme renseigne notre source, un autre véhicule appartenant au Tribunal de Grande Instance de Gbado-Lite, lui doté par le partenaire UNICEF a été incendié.
« Le véhicule incendié appartenait au Tribunal de Grande Instance de Gbado-Lite, lui doté par le partenaire UNICEF. Le Président lui même revenais de Molegbe et il a échappé à la mort avec l'AB de l'Institut Superieur Pédagogique (ISP) Molegbe, un opérateur économique et d'autres personnes. Nous condamnons fermement ce sabotage et nous demandons que justice soit faite. Gloire à Dieu car, nous sommes sauvé de la mort », a écrit madame Caroline Ndoba Bokwala Directeur Provincial de la RTNC Nord-Ubangi.
Par ailleurs, des voies se sont levées pour dénoncer cet acte ignoble perpétré contre l'innocente qui ne faisait que son travail. Des journalistes de Gbado-Lite menacent d'accorder un embargo au quartier Mowanda suite à ce comportement.
« Nous avons appris l'agression d'une consœur journaliste du Nord-Ubangi par des jeunes du quartier Mowanda ce samedi avant midi lors des incidents survenus suite à un accident routier ayant coûté la vie à un enfant. Nous condamnons avec fermeté cet acte non seulement ignoble mais aussi insensé à l'endroit d'une consœur innocente qui était dans le parage et est arrivée sur le lieu simplement pour faire son travail. Cet acte mériterait, à nos yeux, un embargo préventif sur Mowanda », a écrit Russell Gbondowa Maleke, rédacteur en chef de la Radio Liberté, station mère de Gbado-Lite dans le forum WhatsApp des journalistes du Nord-Ubangi.
Legon News de coeur avec Madame Caroline Ndoba !
La justice populaire n'est toujours pas bonne dans la communauté, quelqu'en soit les raisons. Procéder à la voix de la justice populaire cause encore et souvent des problèmes dans la communauté. C'est pourquoi il est toujours souhaitable de laisser la justice faire son travail en vue de remettre chaque partie dans ses droits dans toutes circonstances.
« Comme les autres, la rédaction centrale de Legon News (legon.news) apprenant avec stupéfaction cette triste nouvelle notamment de la mort inopinée de l'enfant dans l'accident, le sabotage d'un autre véhicule n'ayant pas causé cet incident puis la torture sur notre consoeur ne pouvait rester indifférente. Voilà pourquoi elle rallie sa voie à celles des confrères du Nord-Ubangi et particulièrement de la ville de Gbado-Lite pour dénoncer avec véhémence ce comportement anti citoyen perpétré contre l'innocente celle qui n'était que dans l'exercice de son métier. Par conséquent, nous exigeons que les enquêtes sérieuses s'ouvrent dans le but de dénicher les auteurs de cet acte ignoble contre la nôtre et que justice soit faite pour toutes les parties ».
D'après le Maire de la ville Jean-Mathieu Teto Tra Dangba, l'autorité Provinciale à travers son vice s'est impliqué personnellement et en urgence pour calmer la situation. Le corps de l'illustre disparue a été gardé à la morgue de l'hôpital général de référence de Gbado-Lite en attendant les obsèques.
Redaction Legon News.




Exprimez-vous